Résumé de livre : Le père Goriot, Balzac

31 janvier 2019 Non Par Edouard

INTRODUCTION

 

 Le Père Goriot est un roman appartenant au réalisme écrit par  Balzac qui se déroule au XIXème siècle dans le pensionnat bourgeois de Mme Vauquer.

 

 

RÉSUMÉ

 

Le roman commence par un longue description de la pension de famille de Mme Vauquer qui semble triste et vieillote telle la plupart des pensionnaires. Cependant certains d’entre eux  se distinguent comme Eugène de Rastignac, étudiant en droit  issu d’une famille noble mais désargentée de Charente également  le  » Père Goriot « , ancien vermicellier de soixante-deux ans qui loge mystérieusement dans cette pension sordide et bon marché  malgré sa fortune assez conséquente (ce qui intrigue d’ailleurs les pensionnaires ainsi que Mme Vauquer) mais aussi Mme Vauquer, la propriétaire des lieux et enfin Vautrin, homme coquet et mystérieux dont on apprendra qu’il est un ancien forçat.

 

Alors que ses revenus lui permettaient, le Père Goriot logeait dans une des chambres relativement cossues du premier étage puis au fil des années, ses rentrées d’argent diminuant, celui-ci se vit changer d’étage pour enfin habiter une vulgaire mansarde du troisième étage.

 

Ce vieil homme est soupçonné d’entretenir des femmes dont il a régulièrement la visite au sein même de la pension Vauquer et passe pour un libertin.Ces jeunes femmes ne sont en réalité que ses filles venant  lui soutirer de l’argent.

 

Un matin on apprend que le Pére Goriot est allé chez l’orfèvre afin de vendre un écu; de plus, nous apprenons aussi le fait qu’ Eugène de Rastignac a rencontré au bal la comtesse de Restaud qui se trouve être la fille du Père Goriot.

 

Eugène étant sublimé par la Comtesse de Restaud lui rend visite, cependant elle est très proche d’un prénommé Maxime. Dans l’habitat de la Comtesse, Eugène est stupéfait de croiser le P.G et réalise ainsi le lien de parenté entre la comtesse et le P.G.

 

Excédé du manque d’attention à son égard Eugène rend visite à sa cousine : la Vicomtesse de Beauséant et lui demande des conseilles afin de monter dans le statut social de la société. Afin de payer son tailleur se qui est primordial il demande à sa mère et ses sœurs quinze cents francs et les reçoit .

Vautrin, voyant en Eugène une personne pouvant exécuté ses projets il l’incite à séduire Victorine Taillefer ( pensionnaire de la Maison Vauquer ) qui va héritée d’environ huit milles francs cependant Vauquer veut toucher vingt pourcents de ses bénéfices et lui conseille de ne pas faire état d’âme avec ses victimes : ici les femmes. La proposition de Vautrin est une réel embûche au parcourt ascensionnel du jeune Eugène. Grâce à Mme de Beauséant Eugène va dans un bal ou il est séduit par Delphine de Nucingen ( fille du P.G) ainsi Eugène est tiraillé entre l’argent de Victorine Taillefer et l’amour qu’il porte pour Delphine de Nucingen .

 

Au fur et à mesure de l’avancé du roman, Eugène va se rapprocher de Delphine qui lui expliquera les conflits entre elle et son mari et elle apprendra que Eugène est assez proche du P.G. Eugène de Rastignac par le biais de Mme de Beauséant ainsi que Delphine de Nucingen se voit présenté à la Bourgeoisie Parisinne grâce a sa participation à de nombreux bals. Pendant ce temps le policier: Mr Gondureau demande à Mademoiselle Michonneau ( pensionnaire de la Maison Vauquer ) de droguer Vautrin de manière à ce qu’elle puisse vérifier si il à bien un tatouage sur l’épaule et donc certifié que Vautrin est bien  » Trompe-la-mort » un ancien bagnard. Mademoiselle Michonneau découvre le tatouage et le dit au policier se qui entraîne l’arrestation de Vautrin et l’exclusion de Mademoiselle Michonneau de la Maison Vauquer par la propriétaire ainsi que ses pensionnaire.

 

Eugène de Rastignac se voit offrir un appartement par Delphine de Nucingen qui est pourtant des problème d’argent car son mari refuse de lui en laissé. Ensuite Eugène va apprendre les nombreux soucis financiés touchant le P.G et ses deux filles. Suite à ses nombreux problèmes les filles du P.G ne viendront pas le voir durant ses dernières heures et laisseront Eugène ainsi qu’un de ses amis étudiant en médecine au chevet du P.G jusqu’à son enterrement ou il sera seul avec lui.