Problématique : Dans quelle mesure peut-on parler de retournement tragique dans le dénouement ?
I) une composition scénique complexe
a) Cadre
- Religieux, oratoire
- Sentiment d’étouffement :
-
- début de la pièce : devant le château
- fin de la pièce : oratoire
- C écartèlement : Dieu ou P : « j’ai refusé de devenir l’épouse d’un autre que vous, j’avais crut parler sincèrement »
- Ambiance sombre : resserrement spatial : schéma crépusculaire, de la lumière a la nuit
- Répétition mise en scène début : double entrée
b) La présence caché de R : témoin caché
- Mise en abyme de R, cache comme ds la scène de la fontaine : ¹ lecteur ne sait pas
c) Des monologues au dialogue
- Didascalie : 2 monologue : sans jamais se parler vraiment puis échanges vrai et sincère, tomber les masques
- Monologue : question rhétorique® Æ réponse= Æ dialogue + tourmente
- Premier vrai dialogue : reprend propos « oui nous nous aimons » enlève les masques sans orgueil :
- première scène : impossibilité du baissé
- dernière scène : possibilité du baisé « Il l’embrasse »
- Perdican : phrases brèves « hélas, Ô mon Dieu » + ponctuation = émotion :
II) L’aveu amoureux
a) Le lyrisme amoureux
- Ton hyperbolique= emphatique : « si » rythme ternaire, métaphore nature, cadre naturel, vocabulaire fleurit == romantique
- Métaphore du sentier : « Le vert sentier qui nous amenait l’un vers l’autre avait un pente si douce » : romantique
- route obstrué : « Il a bien fallut que la vanité, le bavardage et la colère vinssent jeter leur rocher »
- Impression mariage : échange des consentements : « oui nous nous aimons » C + P
- Lyrique insiste sur le regret de leur attitude
- L’amour méliorative : métaphores « perle si rare » « inestimable joyaux » avec le caractère précieux des bijoux
- nature fertile « vert/douce/fleuris »
b) L’expression des regrets
- « Nous étions nait l’un l’autre » : regret
- Orgueil moteur tragédie : empêche de se rencontrer : cause impossibilité de leur amour : « orgueil le plus fatal » : superlatif + fatalité
- Fatalité : orgueil force supérieur « qu’est tu venu faire sur nos lèvres, lorsque nos mains allait de joindre » = impuissance : tragique
- « veines paroles/ misérables folies »
- C : interjection + question rhétorique = désespoir
- Reconnait fautes :
c) Vers une fin heureuse ?
- Si la pièce s’arrête à « Il s’embrasse » « Il la prend dans ses bras » = fin heureuse
- les deux pers pas ds la réalité : « insensé, rêve » « enfant; jouet ; joué »
III) Un dénouement tragique
a) Le retournement de situation : cri de R
- on entend un « grand cri derrière l’autel » insistance «grand » : ® drame
- Coup de théâtre final : P et C = amour mais R meurt
- Règle bienséance : R meurt de désespoir, avec mort hors scène
- La présence de Rosette détruit donc le lien amoureux.
b) Une terreur sacrée : supplication
- Connotation religieuse : première phrase C // « Mon dieu, mon dieu pk m’a tu abandonné » = parole de désespoir : des le début.
- Intuition C : « Elle s’est encore évanouie »
- Intuition P : présage fin tragique « je sens un froid mortel » + « je sens mes mains couverte de sang » + « meurtrier » ® mort
- Prière a Dieu de P : (figure anticlérical), terme supplicatif, imploration, excuse
- Reconnait sa faute : « nous avons joué avec la vie et la mort »
- rythme binaire= // construction des phrases : « je lui trouverai un mari », « je réparerais ma faute » : = insistance supplication
- rythme ternaire : « elle est jeune, elle sera riche, elle sera heureuse » : amplification == double utilisation du future pour supplications
c) La fatalité à l’œuvre
- Le cri = fin tragique : réplique final = chute courte et brutal : cause, conséquence adieu.
- insensée : les pers on le pouvoir de jouer ac l’amour, mais cri de R rappel réalité
- R victime de leur jeu amoureux, la vie n’est pas un jeu
- Tragédie : Offrande d’un bouc durant cérémonie religieuse pour Dionysos : donc Bouc // R car victime sacrifier sur l’autel, en plus oratoire
- Connotation titre tel un dicton
Conclusion
- riche en émotion : comique+tragique
- Aboutissement : baisser
- Réflexion : sort de R
- Rappel titre
- Le jeu aura conduit à la mort et à une séparation irréversible.
Ouverture
Chute : fable, nouvelle, cinéma
On ne badine pas avec l’amour, Acte III, scène 2 – Commentaire de texte – BAC de français
Problématique : Dans quelle mesure peut-on parler de retournement tragique dans le dénouement ?
I) une composition scénique complexe
a) Cadre
b) La présence caché de R : témoin caché
c) Des monologues au dialogue
II) L’aveu amoureux
a) Le lyrisme amoureux
b) L’expression des regrets
c) Vers une fin heureuse ?
III) Un dénouement tragique
a) Le retournement de situation : cri de R
b) Une terreur sacrée : supplication
c) La fatalité à l’œuvre
Conclusion
Ouverture
Chute : fable, nouvelle, cinéma