I) Un récit plein d’émotion
a) Le lieu idéal
- Le statu social : échapper à sa classe sociale « demi bourgeois, demi manant »
- possède un bien propre : « jardin »
- 8 premiers vers : détail avec précision du jardin qui est tout le bonheur du jardinier
- les plantes du jardin qui joignent l’utile : Cuisine « « leptus, oseille », « jasmin serpolet »
- vers 6 effet lyrique l’antéposition du complément « à plaisir » : énumérations
- les plantes du jardin qui joignent l’utile à l’agréable : « De quoi faire a marguerite pour sa fête un bouquet »
- ce jardin évoqué de manière précise+ imagé= le cadre pittoresque de l’action.
b) perturbé par une visite aux lourd conséquences
- Péripéties : différent tableaux :
- le jardinier : « se plaignit » au seigneur pour se débarrassé d’un lièvre.
- Le sans gène du seigneur : détaillant, ses fait et gestes : attitude envers la fille du jardinier. « Connaissance avec elle, asseoir, prend une main, lève un coin du mouchoir » « caresse sa fille »
- Fille bourgeois « la belle » « De défend grand respect »: valorisation
- « course poursuite » qui s’organise derrière le lièvre, au dépens du jardin
- Expédition, quasi militaire « trompe, car, chasseur » : bcp monde pour 1 lièvre
- Chasse courte « On le guérit, on le lance, il s’enfuit par un trou » : même vers –> incompétence écho « le pis fut que l’on mit en piteux équipage »
- Le dénouement = contraste l’état final ¹départ :
- départ « plan vif fermé cette étendu » « le clos attenant » « assez propre »
- final : « trou », chevaux destruction légumes : « adieu *5 »
II) Un récit qui porte réflexion
a) Un narrateur plein d’empathie
- méfaits des seigneurs + l’abus autorité : « il commande chez l’hôte »« prend liberté »
- Seigneur + cour : « on se rue en cuisine » Beaucoup de monde « chiens, chevaux, valets » énumération
- Narrateur condamne la grossièreté du seigneur : « sottise »
- La sympathie du narrateur –> au jardinier même si n’en fait pas un portrait flatteur.
- impuissant : d’un air résigné 53 « ce sont la des jeux de prince » : sous entendu je n’ai plus rien mais ils se seront bien amusaient.
- La tristesse de J.F : La comparaison au vers 43 « le pis fut que l’on mit en piteux équipage le pauvre potager » allitération en p= pitié +« adieux *5 » anaphore + rythme binaire « adieu chicorée et porreaux »
- la « pauvre haie » 50 : un triste spectacle : métaphore des plaies 49 « non pas un trou mais une troué ce n’est pas un toue mais une tranché »
b) Le choc des classes social
- Portrait Seigneur : pas réaliste –> exagération : « je vous défendrais » « sur ma vie » « sorcier » « je le défi »
- Mauvais chef : « Par ordre du seigneur » s’enfuit grâce au trou du seigneur : ironie
- Exagération : chasse chevreuil pour cheval : ironie critique
- Bourgeois : respect « monsieur il sont à vous » : soumis
- Choc de classe social : injuste avec prise de partie du narrateur
- Leçon implicite véhiculer par le récit et suffisamment détaillé : force image
Conclusion
Double interprétation de cette fable :
- La morale exprimée à travers des nombreux impératifs « vidé, il ne faut jamais »
–> d’une manière générale au lectorat avec jean de la fontaine.
- conseiller je jeune dauphin : le recueil est dédicacé dans sa manière de gouverner en visant la diplomatie et la mesure.
Ouverture
Rôle maitre-valets : Sganarelle, les bonnes
Argumentation indirecte : fable image, dicton
Le Jardinier et son Seigneur, La Fontaine – Commentaire de texte – BAC de français
I) Un récit plein d’émotion
a) Le lieu idéal
b) perturbé par une visite aux lourd conséquences
II) Un récit qui porte réflexion
a) Un narrateur plein d’empathie
b) Le choc des classes social
Conclusion
Double interprétation de cette fable :
–> d’une manière générale au lectorat avec jean de la fontaine.
Ouverture
Rôle maitre-valets : Sganarelle, les bonnes
Argumentation indirecte : fable image, dicton