Biographie : Marcel Proust (1871-1922)
- né ds une famille bourgeoise, cultivé (Licence de Lettres 1892)
- Ecrit bcp d’article, Fréquente la bourgeoisie et la noblesse du Fb St Germain
- 1907 « A la recherche du temps perdu » 7 parties ou il y décrit les personnages qu’il a fréquentés. Grace à la mémoire involontaire il garde des souvenirs intacte (madeleine)
- Obtient le Prix Goncourt 1919 avec A l’ombre des jeunes filles en fleurs mais sans avoir mis le point final. Malade, cloitré
L’œuvre et l’histoire
- Le narrateur s’interroge sur la correspondance entre les mots et la réalité. Par ex : bergotte.
- Pour le personnage de Bergotte il c’est inspiré d’Anatole France, écrivain que Proust admirait.
- Mouvement : – inspira le Nouveau Roman (refuse narration omnisciente+image rassurante du monde)
- Aucun mouvement
Genre littéraire : Roman
Contexte de l’extrait : Diner mondain chez les Swan (des amis), rencontre avec l’écrivain conne de l’époque Bergotte.
Problématique : En quoi le narrateur propose un double portrait de Bergotte ?
I) Le portrait d’un personnage idéalisé
a) Effet de surprise
- Plongé dans la conscience de Marcel : narration + focalisation interne
- Surprise au nom de Bergotte : « tressauter »+ comparaison hyperbolique –>« Comme le bruit […] moi »
- Emotion non partagé par Odette Swan : annonce de Bergotte comme Proust.
- b) Description de Bergotte tel qu’il avait imaginé :
- Portrait idéalisé : périphrase –>« le doux chantre aux cheveux blanc » : connotation de sagesse du personnage
- Sagesse, expérience : « organisme défaillant […] oppressèrent pour elle »+ « douce et divine Sagesse » : chp lexical Sagesse
- Le narrateur a construit un individu a partir de ces romans : L’image du stalactique –>l’élaboration de l’image.
II) Une réalité décevante
a) L’incarnation ne satisfait pas
- Correspondance mot et réalité : Bergotte et son physique+attitude= deception
- Déception de ce personnage idéalisé : champ lexical du corps humain « aucune place […] devant moi »
- « aucune place […] devant moi » : fait écho « Mon salut […] barbiche noir » : exagération –> véritable caricature.
- L’accent sur la barbiche et le nez : L.27.45.47 : bergotte est ridiculisé par cette focalisation du narrateur sur cet aspect récurant.
- Déception du narrateur : hyperboles « réduit en poudre » « mortellement triste » « ne pouvait être d’aucun usage ».
b) Déduction d’un portrait moral
- Déception caricature –> déduction du portrait moral : opposition a ce qu’il avait imaginé avant « Me forçant à réédifier extérieurement le personnage de Bergotte »
- Changement de point de vue : utilisation rythme ternaire –> L.42 « il semblait encore impliquait, produire, sécrété, […] capricieux »
- « Mentalité d’ingénieur» : méprisant : dévalorisation moral
- Double portrait de bergotte qui nous donne des indices sur la phycologie du narrateur avec une conception sacrée de la littérature.
- Idéalisation des noms : les êtres et toute les difficulté a faire face a la réalité.
- « Ce qui prime c’est la conscience que nous avons du monde plus que le monde lui-même »
Conclusion
Double portrait, surprise (imagination, réalité) –> déception –> caricature
Ouverture
double portrait Stendal+ caricature Corpus+ Présidents
A l’ombre des jeunes filles en fleurs, Proust – Commentaire de texte – BAC de français
Biographie : Marcel Proust (1871-1922)
L’œuvre et l’histoire
Genre littéraire : Roman
Contexte de l’extrait : Diner mondain chez les Swan (des amis), rencontre avec l’écrivain conne de l’époque Bergotte.
Problématique : En quoi le narrateur propose un double portrait de Bergotte ?
I) Le portrait d’un personnage idéalisé
a) Effet de surprise
II) Une réalité décevante
a) L’incarnation ne satisfait pas
b) Déduction d’un portrait moral
Conclusion
Double portrait, surprise (imagination, réalité) –> déception –> caricature
Ouverture
double portrait Stendal+ caricature Corpus+ Présidents