Biographie : Rimbaud 1854-1891
- « L’homme aux semelles de vent » par Verlaine
- Né prés de la frontière belge, père militaire, part très tôt
- Élevé brillant, prof de lettres Georges Isambert
- 1870 : fugue –> Douai ou habite son prof
- Écrit 22 poèmes à Paul Demeny (devait bruler ne le fera pas)
- 1871 : fugue –> Paris en révolte, rencontre Voltaire, rentre cercle poète
- Verlaine titre sur Rimbaud, fin de relation
- 1875, beaucoup de voyage, 1880, Arabie Saoudite, 1891 amputait jambe®poète maudit
Résumé de l’œuvre
- été-automne 1870 : 2 cahiers, publiés post-mortem (2ième dénonciation politique)
- fin cahier de Douai
L’œuvre et l’histoire
Bohème :
-
- région Europe centrale
- Vie d’errance, vagabondages
- Fantaisie : rêve merveilleux onirique (rêve )
Registre
Lyrique, il met en scène sa fugue : enthousiasme de l’errance, image positive harmonie avec nature, rythme étrange (enjambements)
Problématique : Dans quelle mesure ce poème de l’errance est comme un hymne à la liberté, à la nature mais aussi un art poétique ?
I) L’errance de « L’homme aux semelles de vents »
a) La dimension autobiographique
- Adolescent en fugue et révolté : « les poings »
- Cadre flou : on ne sait où et quand ça se passe : fugue Douai : perdu Æ lieu
- paletot = veste (belge) : indication lieu
- Construit figure mythique de l’errance –> lien fugue Douai
b) Un poète en marche
- verbe de mouvement : « je m’en allais » : avancé, marche
- omniprésence de l’imparfait : flou : action vague : « allais, devenait, j’égrenais »
- homme en marche sans but précis : sans destination : errance : mise en scène vagabond
- modèle de vie qu’il se propose ¹ « assister » –> sédentaire et bureaucrate
- abandon ce qui l’entoure : dépouillement
c) Le dépouillement du « je »
- Omniprésence de « je » : saturation : « L 1, 3,4 »
- Dépouillement : « poche crevé, mon paletot (veste usé) …idéal, large trou, mon auberge… grand orage, Soulié blessé » : marginalisation
- Le poète se met en scène comme bohémien, dépouillement qui seul rend possible la liberté de la création poétique : « Le poète se fait voyant par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens »
II) Harmonie avec la nature
a) Dilatation de l’espace
- forme poétique condense (sonnet) –> espace très vaste= cadre
- évocation du ciel+horizon : « ciel, grande Ourse, étoile du ciel »
- atmosphère onirique et fantastique : « que d’amour splendide j’ai rêver »
- exclamation « oh ! lala » amour nature
- un sentiment de liberté ds espace large : atmosphère
b) Un nature nourricière
- Nature= mère nourricière « des gouttes de rosée…vin » : « muse » : nourrit inspiration
- Ciel protecteur « sous le ciel, doux frou-frou » (froisse robe) : // robe de sa mère
- « féal » fidèle serviteur
- Assonance DE : « devenait, idéal, dans, des » : évocation don
- Entité maternelle qui le rassure = Nature
- Adjectifs possessifs : il s’approprie la nature : « mes étoile, mon auberge » : 1 avec nature
- il vit en harmonie ac la nature : amour avec la nature, calme écoute, vit avec nature
- tous les sens : semble entendre des choses non audibles pour nous : « je l’ai écouté »
c) Le poète Poucet
- figure petit poucet : « J’égrenais ds ma course des rimes » conte, rêve, jeune, abandonné, seul : lien Rimbaud
- Poème= caillou, permet de se retrouver
- « Des rimes » : mise en valeur par rejet : « j’égrenais dans ma course des rimes »
- Vagabond accompagné par sa poésie : quête poétique, quel est son but ?
III) Manifeste pour une poésie nouvelle (// boitement fin de vie)
a) Claudication du sonnet
- opposition règle de versification classique : – affranchie hémistiche vers 1, 4, 7,13
- rimes ABBA CDDC EEF GGF
- Pas d’opposition quatrain, tercet (thèmes)
- Pas de chute vers 14
- Enjambement et rejet : « 6-7, 10-11, 13-14 » : casse le rythme
- Atmosphère errance et liberté (// le rythme)
- Symbolise l’errance prise de liberté : Vagabondage nature= Vagabondage sonnet
b) Une poésie iconoclaste (pas de respecte des règles = originalité)
- Référence poésie fréquente : « muse, féal, rimes, lyre » évocation univers poétique
- Renouvelle image poète : « lyre » fait avec élastique de soulier, objet banal=triviaux : « poche crevé »
- Tradition fait du poète un être surhumain (don) Rimbaud apporte banalité (reste homme) au poète
- R livre sa nouvelle vision poétique : art poétique : poésie sans contrainte, liberté
Conclusion
Évocation de la bohème, mise en scène ambiance harmonie, description cadre spécial av la nature, dont il fait l’éloge. Liberté par de règle de société, seul + la forme originale du sonnet, liberté règle poésie, renouveau
Lien fugue –> art poétique, nature joue rôle important et sa nouvelle vision du monde et de la poésie.
Ouverture
- Sensation p 15: nature, bohème, mouvement, même recueil, errance abandon, harmonie, terme similaire nature –> femme, émotion et liberté
- Sensation + fantaisie –> Demain des l’aube de V.H : poète marcheur, structure, R errant H mort ou pèlerinage
- Haïkus Jap av évocation simple d’un moment d’une atmosphère
Ma Bohème, Rimbaud – Commentaire de texte – BAC de français
Biographie : Rimbaud 1854-1891
Résumé de l’œuvre
L’œuvre et l’histoire
Bohème :
Registre
Lyrique, il met en scène sa fugue : enthousiasme de l’errance, image positive harmonie avec nature, rythme étrange (enjambements)
Problématique : Dans quelle mesure ce poème de l’errance est comme un hymne à la liberté, à la nature mais aussi un art poétique ?
I) L’errance de « L’homme aux semelles de vents »
a) La dimension autobiographique
b) Un poète en marche
c) Le dépouillement du « je »
II) Harmonie avec la nature
a) Dilatation de l’espace
b) Un nature nourricière
c) Le poète Poucet
III) Manifeste pour une poésie nouvelle (// boitement fin de vie)
a) Claudication du sonnet
b) Une poésie iconoclaste (pas de respecte des règles = originalité)
Conclusion
Évocation de la bohème, mise en scène ambiance harmonie, description cadre spécial av la nature, dont il fait l’éloge. Liberté par de règle de société, seul + la forme originale du sonnet, liberté règle poésie, renouveau
Lien fugue –> art poétique, nature joue rôle important et sa nouvelle vision du monde et de la poésie.
Ouverture